Sommes-nous heureux au travail ?
[ même depuis la maison ? ]
Parlons-en « pour de bon » !
[ même par skype ? ]
Dans le cadre de la 8èmeJournée mondiale du bonheur vendredi 20 mars 2020, les managers et les équipes sont invités à aborder le thème du bonheur au travail.
Au cours d’un moment d’échanges, l’idée est d’identifier en équipe et en toute franchise les facteurs qui augmentent ou réduisent le bien être et la confiance au travail, la qualité des relations ainsi que le ressenti des individus dans leur environnement professionnel.
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Comment ?
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Entre collègues, par Skype, autour d’un café ou en salle de réunion, posez-vous ensemble une série de questions, élaborées pour favoriser la mise en mots de ressentis, besoins et idées d’amélioration.
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« L’ objectif ultime est d’améliorer le climat qui permet à chacun de déployer tout son potentiel et de supprimer, à terme, tant les causes que les conséquences du malheur au travail.»
Annika Månsson, fondatrice du cabinet de conseil, coaching et formation Happy at Work, à l’origine de cette initiative.
Cliquez ici pour télécharger le flyer qui vous aidera à lancer la conversation avec votre équipe
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Quelques statistiques …
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Depuis 2005, il est scientifiquement démontré que des collaborateurs « heureux » sont plus performants – 31% plus productifs, 9x plus loyaux, 55% plus créatifs et 6x moins absents.
Une récente étude de l’institut de conseil et d’évaluation américain, Decision Wise, a notamment démontré que les entreprises avec des équipes heureuses voient leurs bénéfices croître jusqu’à 3 fois plus vite que leurs concurrents.
La même étude a révélé que la perte de productivité due au désengagement des employés coûte à l’économie américaine jusqu’à 350 milliards de dollars par an. En Suisse, ce montant – qui se traduit en termes d’absentéisme, burn-out, brown-out, etc… – s’élève à plus de 10 milliards de francs à l’année, selon les statistiques des assurances Swica et PK Rück.
Si les entreprises veulent accroître leur productivité et leur rentabilité, fidéliser leurs clients et réduire les pertes dues à l’attrition et au désengagement, elles doivent commencer par engager leurs employés.
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» On peut en savoir plus sur quelqu’un en une heure de jeu qu’en un année de conversation«
Platon
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